OEUVRES EN VENTE DE L'ATLAS, SOUS RESERVE DE TRANSACTIONS EN COURS.
Jules Dedet, plus connu sous le nom de « L'Atlas », est un artiste français de street art né en 1978.
Méticuleux, à la recherche d'une certaine pureté tant dans la forme que dans le choix des couleurs utilisées, L'Atlas exprime à travers sa vie et son art la philosophie asiatique de la dualité comme source de complémentarité.
Refusant des études académiques et une vie conformiste, il abandonna ses études d'histoire de l'art pour se consacrer entièrement à son amour de l'écriture. Il choisit de partir au Maroc puis en Egypte pour étudier l'art de la calligraphie arabe auprès de grands maîtres et professeurs. De retour à Paris, il transposa les techniques arabes anciennes avec les médiums contemporains que sont le scotch et le spray sur des toiles et des posters. Il crée alors une signature unique et universelle inspirée du labyrinthe, qui est toujours un motif récurrent dans ses œuvres.
Ces boussoles et ces labyrinthes faits de gaffer (ce scotch blanc utilisé sur les plateaux de cinéma) et appliqués sur le sol sont une invitation à la réflexion. Dans chacune de ces œuvres, vous pouvez toujours deviner un mot, plus au moins dissimulé, ce qui est une des caractéristiques inhérentes à l'art urbain auquel il appartient. Ses œuvres ont été exposées dans de nombreux musées et institutions comme le Centre George Pompidou, le Palais de Tokyo ou encore le Grand Palais.
Méticuleux, à la recherche d'une certaine pureté tant dans la forme que dans le choix des couleurs utilisées, L'Atlas exprime à travers sa vie et son art la philosophie asiatique de la dualité comme source de complémentarité.
Refusant des études académiques et une vie conformiste, il abandonna ses études d'histoire de l'art pour se consacrer entièrement à son amour de l'écriture. Il choisit de partir au Maroc puis en Egypte pour étudier l'art de la calligraphie arabe auprès de grands maîtres et professeurs. De retour à Paris, il transposa les techniques arabes anciennes avec les médiums contemporains que sont le scotch et le spray sur des toiles et des posters. Il crée alors une signature unique et universelle inspirée du labyrinthe, qui est toujours un motif récurrent dans ses œuvres.
Ces boussoles et ces labyrinthes faits de gaffer (ce scotch blanc utilisé sur les plateaux de cinéma) et appliqués sur le sol sont une invitation à la réflexion. Dans chacune de ces œuvres, vous pouvez toujours deviner un mot, plus au moins dissimulé, ce qui est une des caractéristiques inhérentes à l'art urbain auquel il appartient. Ses œuvres ont été exposées dans de nombreux musées et institutions comme le Centre George Pompidou, le Palais de Tokyo ou encore le Grand Palais.
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