Editions originales en vente de François AVRIL, sous réserve de transactions en cours.
François AVRIL, né en 1961 à Paris, est une figure majeure de la bande dessinée. Diplômé de l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art, il commence sa carrière en tant qu'illustrateur pour la presse magazine, la publicité et l'édition. A partir des années 80, il débute la bande dessinée. Son coup de crayon est sollicité par de nombreux journaux, de Libération à Marie-Claire en passant par Lire Magazine. Accompagné d'illustrateurs et d'auteurs de bande dessiné, il fonde l'Ecole de Pigalle où leurs travaux se publient dans la revue P.L.G.
Son travail oscille entre la bande dessiné et l'art contemporain. Les villes et les paysages font figure de leitmotivs, avec un rapport accru entre l'horizontalité/la verticalité, la ville silencieuse/les infrastructures, la perspective/la miniature. En effet, de fines et élancées silhouettes ponctuent ses dessins au milieu d'un univers graphique à grande échelle. François AVRIL y distille des notes de jazz au cœur des soirées nocturnes parisiennes pour esquisser un dynamisme et un élan propre aux rythmes des métropoles. Mais le vide et le silence demeurent, la fougue se confronte alors à un moment suspendu ainsi qu'à une finesse de ses traits. La ligne est simple, esquissant des formes en apesanteur et des teintes poétiques. La pureté esthétique le fait tendre vers l'abstraction où se joue un sens du détail. Avec subtilité, l'infime peut parvenir à perturber, voire bifurquer, le sens de la narration.
Son travail oscille entre la bande dessiné et l'art contemporain. Les villes et les paysages font figure de leitmotivs, avec un rapport accru entre l'horizontalité/la verticalité, la ville silencieuse/les infrastructures, la perspective/la miniature. En effet, de fines et élancées silhouettes ponctuent ses dessins au milieu d'un univers graphique à grande échelle. François AVRIL y distille des notes de jazz au cœur des soirées nocturnes parisiennes pour esquisser un dynamisme et un élan propre aux rythmes des métropoles. Mais le vide et le silence demeurent, la fougue se confronte alors à un moment suspendu ainsi qu'à une finesse de ses traits. La ligne est simple, esquissant des formes en apesanteur et des teintes poétiques. La pureté esthétique le fait tendre vers l'abstraction où se joue un sens du détail. Avec subtilité, l'infime peut parvenir à perturber, voire bifurquer, le sens de la narration.
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